J’étais invitée à la 28ème journée du livre de Sablet.
Cette « journée du livre » dure en réalité 2 jours et les organisateurs appâtent malicieusement les auteurs en l’intitulant « journée des livres et du vin. »
Ils n’ont cependant pas besoin de se fatiguer pour nous attirer : chez les auteurs jeunesse, où l’info circule bien concernant les abreuvoirs, la journée de Sablet a une côté d’enfer.
J’ai constaté sur place que le mot « enfer » n’est pas là par hasard : à Sablet, il fait 45°.
Les organisateurs nous ont arrosé de toutes les façons possible pour éviter la lyophilisation totale (eau, brumisateur, cuvée du livre et limoncello fait maison – en fait c’est bon cette liqueur qui colle).
J’ai rencontré des auteurs ébouripoustouflants…
Il y avait des gens adorables, de la truffe au menu, l’habituel lot d’aventures poilantes (mon gag récurrent du petit coin mal fermé, les feutres fondus, la voisine fondue aussi…).
J’ai signé mon poids en bouquins (tiercé gagnant : Charlotte et son cheval, Choses petites et merveilleuses, Mon ami Kemushi) et beaucoup parlé avec mes lecteurs.
Verdict ? Sablet, c’est ébouriffant ! J’aimerais déjà y retourner. 😉
NB : Mon colonel, si tu passes ici, sache que le voile est enfin levé concernant Edgar et Léopold ! ❤