Choses petites et merveilleuses

Mon nouveau livre vient de paraître !

Je traversais une période mouvementée professionnellement quand je l’ai écrit. J’avais besoin de me recentrer, de renouer avec l’essentiel. Ces Choses petites et merveilleuses sont arrivées d’un coup, comme un cadeau.

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Bien sûr il m’a fallu pas mal bosser ensuite pour emmener mes idées là où je voulais. Et que de bonnes fées accueillent mon texte… Et puis il y a eu Sandrine, qui l’aimé à la première lecture.

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Sandrine a le don de comprendre au delà des mots. Elle a mis dans ses pinceaux tout ce que j’espérais et tout ce à quoi je n’avais pas songé.

Aujourd’hui j’ai notre livre entre les mains et chaque détail de ses images me charme : c’est un album que j’aurais adoré avoir enfant, pour en explorer sans fin les illustrations.

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L’idée des petites cases lui est venue d’une petite boîte de jeu trouvée sur un marché aux puces japonais. Ce jeu s’appelle Hanafuda (le jeu des fleurs). D’ailleurs un livre qui lui est consacré vient de paraître chez notre éditeur. Je vais m’empresser de l’acheter…

Merci pour votre visite et bonne journée !

Choses petites et merveilleuses, avec Sandrine Thommen, Picquier jeunesse, 2014

Choses petites

Edgar, la classe !

Les gâteaux porte-bonheur ont envahi La Classe, une revue destinée aux enseignants et élèves de CP et CE1, avec tout plein d’activités ébouripoustouflantes.

Je ne savais pas qu’il y avait tant de choses dans notre album, à part l’adorable Edgar le moineau et ses amis… Et pourtant si, c’est fou ! Langage, phonologie (qui fait « iiiii », qui fait « Tut Tut » ?), mathématiques… Ho là là, si c’est pas tout mimi d’apprendre les chiffres avec la taupe qui appuie toujours sur le mauvais bouton en manœuvrant l’ascenseur ?!

On peut même organiser un atelier cuisine et préparer des gâteaux porte-bonheur, se lancer dans un chantier bricolo-peinture pour édifier l’immeuble coloré du piaf (mon activité préférée), ou planifier une visite chez Pablo Picasso, l’artiste qui a inspiré le Pigano de notre histoire.

La Classe

La Classe, c’est du gâteau !

 

La classe, n° 249, mai 2014. Par ici

Les gâteaux porte-bonheur, avec colonel Moutarde, P’tit Glénat, 2013. Par là !

Sélection prix du roman jeunesse Laval

chez nous on danseChez nous on danse est en bonne compagnie !

Sélectionné pour le Prix du roman jeunesse de Laval, cet album croise en chemin des histoires et des ouvrages tous plus chouettes les uns que les autres. Ça met un peu la pression… Pas de panique : quoi qu’il arrive, des rencontres sont déjà prévues avec les jeunes lecteurs. Miam ! Je ne sais pas vous, mais quand je vois les illustrations d’Anne Montel, j’ai des fourmis de saut de chat dans les pieds.

Mi amiga Kemushi

Mi Amiga Kemushi

Mi amiga Kemushi vive en el jardin del palacio de los ciruelos Y los cerezos.

Jolie surprise, reçue il y a quelques jours par la poste : la traduction espagnole de Mon ami Kemushi. L’album est publié par les éditions Kókinos. La chenille est devenue une fille… coquetterie ou logique de traducteur ? L’univers de Mandana Sadat est toujours aussi enchanteur. Cette publication me ravit, d’autant que l’accueil sur les blogs est plutôt bienveillant.

Pour les hispanistes, c’est ici.

Le mandarin musicien

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 Il y avait autrefois un mandarin solitaire, qui travaillait beaucoup.

Il avait beaucoup travaillé pour devenir mandarin. Il était arrivé premier au concours ! Le Roi en personne lui avait remis son chapeau aux ailes de libellule. Et s’il n’était pas devenu ministre, c’est qu’il ne plaisait guère à la Cour : il ne racontait jamais d’histoires drôles, il travaillait…

Aussi le Roi l’avait-il envoyé à Lang Son, dans le nord du Vietnam, au pied des montagnes.

Là, à cause des nuages qui le traversent, le paysage bouge jour et nuit, et cela donne à tous une grande envie de voyager. Mais voyager, notre mandarin n’en eut pas l’idée : il travaillait…

Par quelque bout que je le prenne, l’ébouriffante Catherine de la Clergerie est à l’origine de ce conte, vu qu’elle m’a présentée à madame Pippa, Brigitte Peltier. Brigitte aime les livres, les auteurs, les artistes… Elle aime aussi le Vietnam et nous a proposé, à Joëlle Ginoux-Duvivier et à moi, de nous y aventurer. Y suivrez-vous nos pas, sous un prunier en fleurs ?

Pour les curieux, c’est par là.